- Le plus souvent, un simple inconfort passager est décrit (ventre un peu gonflé, douleurs type douleurs de règles,…).
- Afin de prévenir des complications médicales de l’hyperstimulation, nous pourrons être amené à congeler tous vos embryons
- Très exceptionnellement, en cas d’hyperstimulation sévère, une hospitalisation peut s’avérer nécessaire.
- En cas de douleurs importantes, ballonnements, fièvre survenant suite à un traitement de stimulation ovarienne, n’hésitez pas à prévenir votre gynécologue.
- Une consultation avec un anesthésiste est obligatoire avant le passage au bloc opératoire.
- Les risques liés à l’anesthésie vous sont expliqués à cette occasion.
- Comme pour tout acte chirurgical, il existe un très faible risque hémorragique et infectieux.
- Ils peuvent se produire à chaque étape de la prise en charge
- arrêt de la stimulation en cas de réponse inadaptée,
- absence d’ovocyte suite à la ponction ovarienne,
- absence de fécondation,
- embryons de mauvaise qualité,
- transfert embryonnaire impossible,
- lyse embryonnaire suite à une décongélation d’embryon,
- absence de grossesse).
- Les traitements et les échecs peuvent être difficiles à supporter. Un soutien psychologique peut s’avérer nécessaire. N’hésitez pas à contacter un psychologue.
- Lors des Inséminations Intra Utérines (IIU), le suivi échographique au cours de la stimulation permet de compter le nombre de follicules mâtures. Si un trop grand nombre de follicules est observé, l’insémination peut être annulée afin de limiter le risque de survenue d’une grossesse multiple.
- Lors des transferts embryonnaires (FIV ICSI et TEC), le nombre d’embryons à transférer est discuté avec le gynécologue et éventuellement avec le biologiste en fonction de votre âge, de vos antécédents et des résultats obtenus. Dans une majorité de cas, le transfert d’un embryon unique est justifié.
- Actuellement aucune étude ne montre un taux de malformations plus élevé chez les enfants issus d’une AMP.